
Starcraft 2 : le test by moi !
(MageGaHell’s Blog - 3615 My IRL - Useless - 11/08/2010)
Voilà, IL est enfin sortis après des années, des décennies, des éons d’attentes !
Qui ? Starcraft 2, bien sûr.
Comme vous le savez peut être (pour les rares qui ne viennent par ici à la recherche d’un tutorial RO ou de perversion mêlant scotch et jeune voleuse), j’ai participais à la bêta (un peu, j’ai hélas du travail et d’autres occupations).
Mais là, c’est le vrai jeu, que tout le monde peut se procurer moyennement de l’argent (ou pas).
Critiquons donc ! Et je vais être sévère, malgré mon fanboyisme.
NB : screenshots issus de mes replays en bas de page. Pas de screenshots de campagne pour pas spoiler.
J’ai donc acquis une version "normale" (pas collector quoi, ma pingrerie étant supérieure). La boite est jolie et assez étonnante : solide, avec un petit effet relief sur le titre, elle comprends un volet dépliable (à scratch ^^) présentant une fresque bataille mettant en valeurs quelques-unes des nouvelles unités et des screenshots du jeu/des cinématiques ainsi qu’un argumentaire commercial pour Battle.net.
Le tout abritant un boitier DVD-ROM classique, avec le jeu, le manuel et la sacro-sainte clef d’authentification.
Attention : éviter d’acheter le jeu à la FNAC/dans un grand magasin. Il y est vendu à un prix honteux (60 euros), alors qu’avec un peu de fouille et de patience, vous le trouverez à moins sur le net (genre là chez game.fr, c’est là que je l’ai pris, je l’ai reçut le jour de la sortie, le 27 juillet et j’ai eu une clef pour jouer à la bêta dès ma pré-commande).
C’est là que je commence déjà à grommeler : le manuel est une insulte.
Certes, je suis vieux et je regrette le temps des boites colossales qui prenaient une place folle... Mais bon sang, en ce temps là, on savait faire de vrai manuel de jeu ! Je me souviendrais toujours de celui de Civilisation, un vrai pavé bourrés d’infos (utile ou non, mais à foison) et de "background".
Là, on a à peine une vingtaine de pages (ils sont honnêtes, il appelle ça un "guide de démarrage"), en noir&blanc seulement. L’essentiel est un résumé de l’histoire (ce qui est plaisant) et 5 pages de conditions générales de vente, contrat de licence, avertissement sur l’épilepsie, classement pegi et autres joyeuseté (ouf, ils nous épargnent un avertissement sur le coté addictif du jeu).
Pas de manuel plus détaillé sur le CD, pas de tableau reprenant les races/unités/personnalités/planètes/background : il va falloir aller chercher ça en ligne.
Bon, installons. Il faut 12Go (outch ! mais y’a de la vidéo et l’éditeur de carte/scénario) d’espace libre.
Durant l’installation, une voix synthétique reprend l’histoire des jeux précédent (honnêtement, je suis allé casser la croute et j’ai pas tout écouté), agrémenté de quelques visuels volontairement moches pour suggérer des archives/trucs de caméra de surveillance.
Encore un truc qui fait grincer des dents : l’authentification. Il est obligatoire d’être connecté à internet et à Battle.net (où l’on rentre sa clé d’authentification) pour ne serait-ce qu’installer le jeu. On est loin du bon vieux temps où un CD de Starcraft/Broodwar permettait d’installer le jeu chez tous les potes...
Bien évidemment, ce genre de chose a déjà été contourné et vous pouvez en cherchant bien installé le jeu sans ça (et probablement même jouer au mode solo). Mais c’est bien évidemment Mal.
Notez également que si vous souhaitez jouer "hors-ligne" (c’est possible), vous devez vraiment être totalement et absolument hors-ligne (certain doivent aller jusqu’à désactiver leur connexion wifi/lan).
Bon, l’installation étant terminé, allons un peu ingame pour critiquer le jeu en lui même.
La cinématique d’intro est superbe, bien que partiellement connus et très inspiré (où est-ce l’inverse, vu le temps qu’il a fallut pour sortir ce jeu) d’Iron Man et de la scène d’enfilage d’armure (rien de pervers là dedans).
Malheureusement, cette introduction, dans laquelle nous faisons connaissance avec le personnage de Tychus, l’ultra-marine bourrin&viril, donne presque trop d’information sur le scénario.
Passons à la suite : l’interface n’a rien d’extra-ordinaire, fort semblable à celle que j’avais essayé en bêta (solo en plus, ainsi que quelques autres fanfreluche/réorganisation). Du bleu/orange majoritairement, des pictos, de la semi-transparence : rien d’exceptionnel.
Un rien confusante aussi, il faut farfouillé un peu (pas longtemps tout de même, y’a de gros boutons) pour découvrir certaines subtilités, notamment dans la gestion des amis/la création de paries personnalisées.
Bon, après plus de dix ans d’attentes, j’ai envie de savoir "la suite de l’histoire" (dont je ne vous dirait rien). On commence donc par la campagne solo, centré sur Jim Raynor, sa rébellion contre l’empereur Mensk, son obsession pour Kerrigan et donc l’avenir des Terran.
J’ai joué (et terminé) la campagne en mode "normal", ce qui s’est être avéré être un choix un peu "mou" : seule 2-3 missions m’ont mis en difficulté (et souvent à cause d’une connerie de ma part).
La campagne est "semi-linéaire" : on remplis des missions, d’autres apparaissent (on peut donc avoir le choix ente 2-3 missions différentes). Entre les missions, on peut (pas toujours) se balader sur le vaisseaux de la rébellion et tailler le bout de gras avec les NPC/Héros/gens, regarder les news à la télé (évoluant en fonction de vos actions), jouer à un mini-jeu de tir, chercher les clins d’oeil des développeurs, engager des mercenaires (unité "moins bien que les héros mais plus fort que leur équivalent normal"), faire de la recherche scientifique sur les Zerg et les Protoss (en fonction de bidules ramassées en objectifs secondaires lors des missions) ou améliorer des unités/trucs à l’armurerie moyennant finance (oui, on gagne de l’argent lors des missions, qui sont donc des contrats mercenaires, plus ou moins).
A trois reprise dans la campagne (qui dure une trentaine de missions), on pourra faire un "choix" influençant la suite (aider telle ou telle personne, faire tel ou tel truc).
Ce système rend la campagne bien immersive, j’ai adoré me balader dans le vaisseaux et parler à tout le monde.
J’ai également bien aimé la recherche scientifique, qui oblige à faire des choix (chaque "niveau de découverte" Zerg ou Protoss permettant de choisir entre deux améliorations, non cumulable) et l’amélioration des unités à l’armurerie (là, chaque unité et quelques bâtiments ont 2 améliorations possible et on peut cumuler... Si on a les moyens, ce qui est loin d’être évident : je ne pense pas qu’il soit possible de tout prendre).
Les missions sont bien foutus et prenantes, même si c’est un peu long à démarrer (jusqu’à ce qu’on est le vaisseaux en fait) et si on a parfois un sentiment de répétition (Oh, faut aller voler un artefact !).
Les points négatifs maintenant.
Alors, autant les "vraies" cinématique sont superbes (et hélas rarissimes), autant celle utilisant le moteur ingame en 3D sont forts moyennes (textures moches, rendu bizarre et matez moi les biceps déformé/improbable de Jim !).
De même, le jeu (dans les missions) est joli, certes, bien animé et fourmillant de détail mais je ne peux me défaire de l’impression qu’en 2010 on aurait pu faire mieux. Peut être est-ce à cause de la lenteur du développement (le moteur de rendus serait déjà obsolète) ?
La musique ne m’a pas particulièrement marquée, jouant son rôle de "fond sonore" (j’vous en ai mis une par race en cadeau). Les voix françaises du jeu sont sympathiques et on sent que des efforts ont été fait sur les jeux de mots/accents/conneries.
Venons-en au point le plus important de la campagne solo : mon dieu que c’était classique ! Hollywoodien ! Cliché ("Oh, une prophétie, c’est toujours bien une prophétie", le noir amateur de vaudou et qui parle avec des "eh man", la greluche qui sert à rien à par permettre au héros de la quitter pour sauver l’humanité, ...).
C’est manichéens au possible et on sent venir les "retournements" de situations (peu fréquent) des années à l’avance (voire dès l’intro).
Cette campagne manque de choix moraux et dramatiques, de conséquence de nos actes (l’alcoolisme de Raynor n’a aucun impact, ni sur les hommes qu’ils est sensé diriger, ni dans ses stratégies/idées, les choix qu’on effectue n’ont quasiment aucunes conséquences, pas plus que le zigouillage de civil ou de Protoss).
Tiens, à ce propos, on affronte souvent des Protoss, race "pas vraiment allié, mais on moins on peut discuter et coopérer parfois conte les Zerg". Et l’ancienne et fière race (un poil vindicative) ne...fait rien.
Ah, l’excuse c’est que l’on combat des Protoss "fanatique" (ça a vraiment bon dos, le fanatisme. Je me demande si il me prenait l’envie de napalmisé la Bible Belt des USA je pourrais dire "mais c’était des fanatiques !").
Je suis également déçus par le fait qu’on ne joue aucune mission du coté Zerg (oui, je sais, le jeu est centré sur les Terran, c’était annoncé... Mais y’a bien quelques petites missions "souvenirs" du coté des Protoss. Pourquoi pas quelques-unes en Zerg ?
D’ailleurs, je suis aussi déçus que ceux-ci ai été "édulcoré" (je ne vous dirait pas comment, pour pas spoiler, mais les joueurs de Warcraft3/WoW feront vite un parallèle avec les Orcs).
Il semblerait que les développeurs (ou plutôt les décideurs) de Blizzard aient oublié à qui ils s’adressaient : à des gens qui ont attendus et encensé Starcraft pendant des années. Des années : ils sont donc vieux et réclament donc un scénario moins basique/manichéens.
On veut du glauque, du sordide (Rappelez-vous Mensk qui lâche les Zerg sur une planète-capitale entière et sans défense, trahissant Kerrigan et choquant Jim dans SC1, tout ça pour réussir sa vengeance et obtenir le pouvoir !), de l’épique (En Taro Tassadar !), des retournement de situation et des plans réfléchit (ou qui échouent lamentablement). Bref, du "sérieux" !
Vous l’aurez comprit, je suis déçus de cette campagne... Mais pas tant que ça. Je me suis amusé comme un petit fou et les missions en elles mêmes sont souvent très intéressantes et stressantes (y’a souvent du temps limité et moult chose à faire simultanément. Normal d’un coté : ça pallie les déficiences de toute IA dans un jeux de stratégie).
La présence de Hauts Faits (et de récompense et de mission secrète ou à choix) augmente le défi et la durée de vie (même si je ne sais pas si je m’amuserais à essayer d’avoir tous les Hauts Faits, c’est pas un truc qui m’intéresse vraiment).
Bon, passons maintenant au multijoueurs, en "ligue" (partie classées).
Là, c’est un autre monde, un monde barbare et sauvage, où la moindre faiblesse vous conduira à la mort.
Déjà, ne croyais pas que la campagne vous prépare au multi : ce n’est que partiellement vrai (déjà on n’y joue quasiment que les Terran et un peu les Protoss. Ensuite, il faudra vous passez de pas mal d’unités/amélioration/recherche et autres trucs).
Par contre les tutoriaux et les "défis" (des missions monojoueurs très spécialisé afin de vous apprendre comment utilisé les unités multijoueurs, ce qui conte quoi, comment micro-gérer les batailles/groupes d’unités...) vous y aideront beaucoup plus.
Ensuite, il y la "Ligue d’entrainement" : une ligue spéciale débutant (pour 50 match, après faudra passer dans la cours des grands), où des rochers (destructibles) vous mettrons à l’abri des rush sauvages (ou pas, il existe bien sûr des moyens "de contournement" pour les petits malins).
Vous serez classé (sauf si vous faites d’abord la ligue d’entrainement) via 5 parties "test".
C’est très peu et peut conduire à des résultats bizarres (forcement, le système/jeu est encore jeune, il va falloir du temps pour que se répartissent convenablement les joueurs et éliminer/limiter le facteur chance). Moi même par exemple, je suis un joueur plus que moyen et j’ai été classé en ligue Platine (il y a Bronze, Argent, Or, Platine et Diamant, par degré de bourrinitude), car j’ai gagné 4 match sur 5 (3 avec la même tactique, qui est mon "ouverture standard" en Zerg, à base de Zergling améliorés et de Chancres, et une par déconnexion de mon adversaire).
Mon niveau "réel" (lors de la bêta) est plus proche du "Bronze+/Argent-". Me voilà donc condamner à prendre des roustes contre des quasi-pro multiclassés poulpes, jusqu’à redescendre à mon niveau réel (d’un autre coté, ça peut m’encourager à progresser).
Une ligue comporte 100 personnes (et quand elle est pleine, ça en crée une nouvelle).
Vous gagner des "points" quand vous... gagnez, et oui, et vous en perdez quand vous perdez. Le nombre de points dépends de moult choses : étiez-vous favori, étiez-vous dans la même ligue, aviez-vous des "points bonus" (une réserve de point qui s’accumule lentement, quand vous ne jouez pas) ?
A noter : vous serez classer dans des ligues différentes selon le type de partie (1 vs 1, 2 vs 2, 3 vs 3 ou 4 vs 4, y’a pas l’air d’y avoir de ligue en "chacun pour soit" et en "tous contre les IA").
Pour monter de ligue, il faut... gagner, mais surtout contre des adversaires plus fort (de la ligue supérieure). De même, vous descendrez surement si vous ne faite que perdre et/ou vous prenez une rouste conte quelqu’un d’une ligue inférieure (le jeu vous propose des adversaires de plus en plus fort si vous continuer à gagner des match. Normalement. En théorie).
Le mécanisme exact de montée/relégation n’est pas connu du public.
Sinon, l’ambiance est bon enfant (ou froide) : on communique peu (d’un autre coté, c’est international), mais j’ai rarement été insulté ou traité de noob.
La discutions basique dans une parie comporte 2 phrases (pour chaque joueur) : "Hi gl hf" ( qui signifie "Hello, good luck and have fun !" et donc "Salut, bonne chance et amuse-toi bien !") et un "GG" en fin de partie (de "Good Game", "Bien joué", phrase lancé par le perdant, attention, pour signaler qu’il abandonne).
Bien évidemment, il est toujours possible de tomber sur un rageux (voir de céder vous même à la tentation après vous être pris un énième rush Disloqueur).
Les parties sont rapides (généralement, pas toujours et je joue Zerg, ce qui incite à gagner/perdre vite) et nerveuses (l’usage des raccourcis clavier est recommandés). Même si certaines stratégies sont connues et se répandent, on ne s’ennuie jamais (c’est l’avantage de lutter contre des humains).
Niveau équilibrage, c’est à mon avis plutôt bon (surtout entre Protoss et Terran).
Je dirais que la race la plus "facile" à manier est Protoss (ils sont puissants, résistants, relativement mobiles, riches en fourberies et avec un panel d’unités variées et toutes utiles, même s’ils sont "chers" à jouer).
Viennent ensuite les Terran, qui sont (à mon avis), les plus puissant "sur le papier", avec un panel d’unités parfait (toutes utiles et offrant moult stratégies), une défense en béton armée, une bonne économie et pas mal de surprises fourbes. Le plus dur est de partir sur la stratégie adapté et de ne pas se disperser.
Enfin, les Zerg... Déjà, je les juge "pas fini" (peut être parce qu’ils ont beaucoup était remanié lors de la bêta et parce qu’ils n’ont pas d’extraordinaires nouvelles unités). Jouer Zerg demande beaucoup de concentration et d’efforts : il faut être partout à la fois et parfaitement gérer la macro (stratégie globale, bâtiments, choix technologique, économie) et la micro-gestion (contrôles des groupes d’unités, gestion des reines et des larves). C’est la race la plus mobile (tant qu’y’a du creep. Mettez du creep partout !), mais aussi la plus faible "physiquement" : il faut être un poulpe coréen pour pouvoir lâcher pleinement la furie Zerg.
C’est pourtant ma race préférée.
Vous pouvez également bien sûr disputé des parties "non-classées", avec vos amis ou des inconnus, sur des cartes officielles ou faites par la communautés.
L’éditeur de carte a l’air particulièrement puissant et de permette de faire tout et n’importe quoi, pas juste des maps et des missions (shoot’n’up, jeu courses, first personne shooter, tower défense, ...)
Enfin, petit trucs sympa qui vous aidera à progresser (ou vous distraira) : il est possible de sauvegarder et de revoir les match à loisir, avec tout un tas d’options sympa (visions de tous les joueurs, statistiques, ordres de productions, avance rapide, ...).
Ceci facile la diffusion de partie (on peut s’échanger les fichiers ou réaliser des vidéos, voir même directement les diffuser en streaming). Il apparait donc sur le net des "chaînes" où des parties de "pro" sont discutés.
En français, il y a la chaîne youtube de Pomf&Thud, avec des commentaires à la fois amusant et pertinent. Sinon, il y a les commentaires de Day9 (en anglais), qui est fort pédagogue et remets souvent en place certaines idées préconçues, dans le but d’améliorer les joueurs.
Bref, au final, que vaut Starcraft2 ?
Et bien, forcement depuis le temps qu’on l’attends, se mêlent attentes "impossibles", fanboyisme et esprit critiques aiguisés par les loooonngues années de retard/repoussage.
Allez, soyons global : je dirais 16/20.
C’est un bon jeu, voire très bon en multijoueurs (si on aime le genre RTS nerveux, sans concession et violent). Par contre, ce n’est pas le chef d’oeuvre que tous désiraient.
La campagne (découpées en 3 jeux/extensions, ce qui fait râler les gens et le portefeuille), n’a, pour ce premier volet, rien de mirifique (même si niveau jouabilité et immersion, elle est prenante). Trop de "concession", trop de "blockbuster Hollywoodien" (franchement, à quand Starcraft par James Camerons ?).
Le graphisme et la musique n’ont rien d’exceptionnel (forcement, le moteur doit dater un peu, avec tous les retards).
Mais au moins, il est sortie et Starcraft 2 remplis pas mal d’attentes, notamment au niveau multijoueurs.
Pourtant, j’ai hésité à descendre encore ma "note", pour sanctionner la compagnie Activision-Blizzard : vraiment sa politique commerciale pue l’ultra-capitalisme à outrance.
De plus, je ne juge pas le jeu "terminé", des fonctions vitales manques :
LAN (prétexte : "oh non, le LAN c’est la porte ouverte au piratage !" Mais c’est ce qui a fait le succès de Starcraft/Broodwar. ""De nos jours, tout le monde à le net haut-débit" Et bien venais jouer en Ardèche profonde, en vacances, dans une cave avec des potes... Outre la technique, la convivialité d’une "Starcraft party" dépasse de loin l’échange impersonnel via le net).. Bref, plus qu’à attendre un crack russe/émulateur battle.net (ils vont bien nous sortir ça) pour jouer en LAN avec des potes...
Chatrooms (prétexte : "c’est un nid spam/insulte !". Oui, mais comment on fait pour rencontrer les gens, discuter stratégie avec des inconnus, whiner, organiser des tournois/parties ? Et bien on est obligé de passer par des forum/IRC... Super à l’ère du 2.0 et des réseau sociaux). Ce manque criant de communication "devrait" être réparer dans un futur (quand ?) patch...
Cross-realm (prétexte : "Il faut pouvoir maintenir un bon débit pour tout le monde. Et propose des offres spéciales pour le tiers-monde certains pays". Ah, c’est ballot du temps de la mondialisation et de la mobilité. Comme au bon vieux temps, Starcraft 2 est "zoné" : impossible à un Européen d’affronter un Américain ou un Coréen, sans devoir racheter une clef/un jeu. Cela va aider à la création de tournois internationaux, ça...). Là encore, on parle d’un futur hypothétique "patch" qui débloquerait tout ça.
Mais malgré ça, je m’éclate et je ne regrette pas mon investissement.
En espérant que toutes les critiques/attentes de la communauté soient prises en compte par Blizzard et qu’ils nous pondent un "Heart of The Swarm" dément.
Pour me suivre, mieux que Fessebouc : mon Profil Starcraft2
















Starcraft 2 : le test by moi !
le 11/10/2010
Je rejoins ton avis sur la partie solo (trop facile en normal, un peu léger niveau scénario...) mais n’ayant pas encore pu tester le mode multijoueur, je reste sur ma faim.
(Et ayant prévu de n’acheter le jeu qu’à la sortie d’un pack avec les 3 volets de SCII, c’est pas pour tout de suite )